Van Helsing
Stephen Sommers aime les monstres. Particulièrement les figures récurrentes du cinéma d’épouvante. Il aime les vampires, la créature de Frankenstein, les loups-garous, Mister Hyde. Il mélange tout dans une improbable cavalcade au scénario délicieusement crétin. Il donne dans le gigantisme pompier, il ne se refuse aucun effet facile, il s’amuse à se faire s’affronter ses joujoux. Avec le plus grand sérieux. C’est, au choix, jouissif ou complètement insupportable. Mais c’est cohérent.
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